Lettre de candidature

J’ai l’immense honneur d’être votre député depuis 2012, avec l’ambition simple d’être un relais utile pour vous et pour notre territoire dans tous les lieux de décision.

Cette responsabilité, je la sollicite de nouveau, à l’occasion des élections législatives qui se dérouleront les 12 et 19 juin prochains, aux côtés de Marie-Sophie Bernadeau, adjointe au Maire de Libourne déléguée aux commerces.

Cette responsabilité, j’en mesure toujours autant l’exigence de proximité, d’écoute, de réponses apportées à vos sollicitations, vos projets et vos parcours de vie.

Parce que notre démocratie doit se renouveler et s’approfondir, je créerai une « Assemblée de Circonscription » composée d’élus locaux, de responsables associatifs et de citoyens, pour défendre ensemble notre territoire à Paris.

Parce que notre territoire est traversé d’inégalités, je veux mobiliser tous les leviers pour engager de nouvelles initiatives et toujours répondre aux enjeux de justice sociale, d’accès aux services publics et à la santé, à l’éducation et à la formation, à l’emploi et au logement, comme au défi de la création et du maintien d’activité pour nos artisans et nos petites et moyennes entreprises.

Parce que je crois dans l’avenir des 104 communes qui composent notre circonscription, je veux aller encore plus loin pour contribuer à la revitalisation urbaine et commerciale de nos coeurs de villes et de villages, à la protection de notre viticulture qui est notre histoire, un magnifique atout et une ressource vitale pour notre économie locale.

Avec ma suppléante, Marie-Sophie Bernadeau, nous voulons continuer d’être les acteurs vigilants de nos communes rurales et péri-urbaines, de notre ville-centre, Libourne, convaincus que nous pouvons, sans les opposer, concilier les enjeux écologiques et ceux du quotidien, pour nos habitants, nos jeunes et pour nos anciens.

Les 12 et 19 juin, nous vous proposons le choix de l’ancrage, de l’expérience, de la sincérité du terrain, de la capacité à travailler avec chacune et chacun d’entre vous : le choix aussi du refus des radicalités qui, d’où qu’elles viennent, dénoncent plus qu’elles ne construisent, accusent plus qu’elles n’agissent.